Maelan Gwens

Commençons par poser les bases de la tragique naissance de Mae' . Premier janvier le jour de sa naissance. Un étrange médecin approche de l'enfant et s'adresse à la mère de Maëlan lui proposant de lui donner un peu d'argent contre son enfant. La famille du petit ayant des problèmes d'argent, accepta à contrecœur. Quelque jour plus tard, Maëlan fut adopté contre la-dite somme d'argent,  il s’agissait d'un trafique d'enfant et c'était courant à l'époque.

Le couple ne pouvant pas avoir d'enfant, avait décidé d'en adopter un de façon clandestine pour éviter les démarches administratives, à la maternité, ce fut les parents adoptifs qui vinrent récupéré le bébé, fournissant donc leurs identité, de manière officiel c'était donc leur fils, Maëlan portera donc le nom "Gwëns".. Il fut néanmoins adopté par une famille plus qu'aisé, sa mère l'éduquais très strictement. Il devait se couché tous les soirs à vingt-et-une heure exactement et sa mère le levait à sept heures et demi. De là il allait dans l'école primaire privé, tous les enfants étaient des enfants ou de petits enfants de riches, la maîtresse de sa classe prenais très soin de lui et le chouchoutais réellement ce qui lui attira le mépris de ses camarades de classe.

La première année de collège de Maëlan fut assez difficile pour lui, ses résultats furent en baisse, il commença à fréquenter d'autre personnes qui ressentait tout comme lui un malaises profond, c'était un groupe d'emo. A cette époque ils étaient tous haïs  et mal vus par les autres élèves et les professeurs. Un jour un de ces "amis" eux arriva; devant Mae' en lui proposant une cigarette, sa mère l'aperçu donc de loin la fumer, ce n'était pas ça première loin de là mais ça, sa mère n'en savait rien. Le soir à son retour il reçu une correction mémorable par ses parents. Il fut privé de sorti, d'ordinateur, de portable et interdit formellement de fumer à nouveau et de traîner avec ce groupe que ces vieux traitaient de voyous et de bon à rien alors que ça n'était pas du tout le cas. Ces jeunes au moins le comprenait!

Un soir en revenant de son collège en voiture avec sa mère ils eurent un violent accident de voiture. Lorsqu'il se réveilla de ses deux semaines de coma il allait mieux, mais son père et sa soeur en larmes à son chevet lui souriaient tout en pleurant. Il ne comprenait guère si c'était de joie ou de peur. Mais sa sœur, d'une voix grave et remplie de sanglot le serra dans les bras et lui annonça la mort de sa mère. Il essaya brusquement de se lever sortir de cette pièce. NON! Il avait mal entendu sa mère n'était pas morte.. Maëlan n'y croyait pas, des larmes glissait sur ses joues; il ouvrit ces lèvres comme pour pousser un cri mais rien d'autre que ses complaintes ne se faisaient entendre. Il aurai aimé s'en aller et fuir tout ce monde, il aurait même préférer être partie plutôt que sa douce maman...

La mort de la mère de Maëlan aura laissé une trace indélébile en lui. Il ne supportait plus son père qui cessais de lui faire des réflexions insupportables. Il décida de quitter la résidence familial qui n'en était plus vraiment une pour poursuivre ces études et pris un studio dans une autre ville. Cette ville était différente de toute les autres capitales qu'il avait jadis côtoyer et il se rendit très vite compte que elle n'était pas habité que par des humains, mais par d'autres race à caractère divin. D'abords étonné, il décida d'en savoir plus sur ses créatures aux traits divins et digne des fables. Ces êtres semblaient provenir de la forêt que l'on voyait à l’orée de la ville et étaient des animaux capables et se métamorphosé en humains tout en gardant certaines caractéristique animal.

Il fut cependant sidéré quand il apprit que certaines de ces merveilleuses créatures étaient battu par les humains voir même réduit à l'esclavage. Comment des hommes pouvaient agir ainsi se demanda-t-il? Dès lors il se jura de défendre les Yokais. Même si il n'avait pas la carrure d'un rugbyman, loin de ça même, il ne pouvait accepté de tel injustice, si seulement il lui était possible de faire des lois contre ça!