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Hisako Suguha

Anonymous
Invité
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Mar 26 Juil - 17:43
Invité
" Suguha Hisako




Eh ! Moi c'est Suguha Hisako, et on me surnomme Sugu-chan. Seulement pour les intimes. Je suis célibataire, et ça me va très bien comme ça. J'ai plutôt tendance à être à part.
Je suis une femme, même si vous le voyez et je suis hétérosexuelle(le). J'ai 22 ans et je suis née un 19 avril.
Je suis humaine, d'origine japonaise.
J'ai un métier, musicienne et mon niveau de vie est  bas


Psst, et la personne sur l'avatar c'est Shibuya Rin.




" Mon physique



L’adjectif qui correspond le mieux à Hisako est « moyen ». Sortir de l’ordinaire, ce n’est pas sa tasse de thé, en tout cas physiquement parlant. Dans la rue, les passants ne se retournent pas sur elle. Elle se mêle à la foule comme personne. Par contre, si on la repère, pour une raison x ou y, alors oui, elle sera souvent considérée comme jolie.

Elle est de taille moyenne, quoique dans le haut de la moyenne grâce à son mètre soixante-sept. Les hommes la trouvent petite ; ses amies la trouvent grande. Tout est une question de point de vue. Du point de vue de Hisako, elle est moyenne. Et elle devient très grande si elle met des talons. Sortir de l’ordinaire par le haut, elle évite. Hisako préfère rester les pieds sur terre, et la tête à la même hauteur que le tout-venant auquel elle considère appartenir. Son corps est élancé par la finesse de sa carrure. Emergeant de ses deux longues jambes blanches, le buste de Hisako est mince et doté d’une modeste poitrine. Sa chute de rein est un peu plus fournie et porte le poids de toute la féminité de la jeune femme. En même temps, des fesses rembourrées quand on doit rester assise plusieurs heures à travailler un récital de violoncelle, c’est plutôt commode. Sa peau pâle des japonaises et de la douceur du soleil levant sont sa principale fierté.

Une remarquable chevelure ébène cascade gracieusement le long de son dos, chutant autour de sa taille. De beaux cheveux noirs brillants et lisses ; à la fois le rêve et le cauchemar de toute japonaise. Hisako se situe plutôt du côté de celles rêvant de cette chevelure : belle et indéniablement normale au vu de ses origines. Elle ne se serait jamais décoloré les cheveux pour atteindre une sorte de blond raté caractéristique des asiatiques. C’est d’ailleurs précisément la couleur de cheveux pour laquelle sa meilleure amie, Chitose, a opté. Chitose est sans doute l’opposé le plus extrême de Hisako.

Une douceur aussi subtile que respectable émane du visage de Hisako. Sa peau laiteuse rehausse le noir de ses sourcils bien épilés qui décuplent la splendeur de ses yeux bridés. Et c’est au fond de ses iris que réside l’originalité de son visage : elle a les yeux verts. Pas vert jade, non. Un magnifique vert anis d’une pâleur qu’on sous-estimerait toujours à moins de l’avoir sous les yeux, comme s’ils ne pouvaient appartenir à la réalité. Ses lèvres pleines et rosées donnent une nuance de fraîcheur à son visage. En somme, elle a un très joli visage. On pourrait même le qualifier de parfait, si tant est que la perfection ne suppose pas l’exception. Hisako est belle, mais elle n’a pas cet atout de charme qui fait qu’on retient son visage. Des cheveux ondulés, un grain de beauté sous l’œil, une petite asymétrie du visage, des pommettes saillantes, etc. Non, Hisako n’a rien de tout cela. Sa particularité, c’est le prosaïsme de son apparence.

Est-il utile de préciser que le maquillage n’est pas le domaine d’expertise privilégié de notre jeune Japonaise ? Elle peut en utiliser occasionnellement lorsque la situation l’exige, sinon elle se contente du strict minimum. Non pas qu’elle n’apprécie pas de prendre soin d’elle. Les bains moussants aux senteurs florales, masques et crèmes en tout genre lui plaisent beaucoup. Mais elle le fait pour son propre plaisir, pas pour obtenir une apparence parfaite. La détente y trône en tant que but et non moyen.

Sans surprise, ses vêtements ne sont pas aussi extravagants que ceux de Chitose. Il semble même à Hisako que tout ce que Chitose n’aime pas a une chance de lui plaire. Elle apprécie les vêtements aux teintes plutôt sombres comme le bordeaux ou le bleu marine. Elle préfére les robes par-dessus tout, mais jamais trop courtes et jamais largement décolletées. En somme, elle a un style vestimentaire plutôt sage, bien qu’elle s’autorise quelques extravagances lors de soirées importantes. En outre, Hisako est parfaitement à l’aise dans son uniforme de violoncelliste. Une tenue constituée de noir et de blanc, sobre et dévoilant bien peu de son anatomie.

Parce que ce qui est intéressant chez quelqu’un n’est pas tant ce qu’il dévoile à tous que ce qu’il montre à une seule personne.

Ah, si. Il y a bien une chose que la jeune fille dans la fleur de l’âge ne montre à personne. Quelque chose qui trône comme le monarque purulent d’un traumatisme passé. Oui, tout est normal, chez Hisako. Tout, sauf ça. Cette large cicatrice boursouflée marquant son territoire de son épaule gauche jusqu’au creux de sa colonne vertébrale, au niveau de sa taille. Cette large cicatrice qui explique tant de choses. Cette large cicatrice qui a fait de Hisako, Hisako.


" Mon caractère



Le ciel nocturne dévoilait toutes ses beautés à la jeune musicienne, accoudée à la fenêtre de son appartement bon marché. Contrairement à elle, il s’ouvrait et permettait à qui voulait bien lever les yeux de lire en lui comme dans un livre ouvert. Seules les lumières de la ville étaient gênées par tant d’obscénité et habillaient les étoiles d’une terne étoffe de pudeur. Elle admirait le ciel et sa témérité. Pire, elle le jalousait. Il n’offrait pas toute sa splendeur parce qu’on l’en empêchait ; Hisako s’en empêchait elle-même. Elle n’avait besoin de personne pour avoir l’air éteinte. Les lumières de la ville n’y étaient pour rien. Depuis son plus jeune âge, on la trouvait un peu à part. Sa mère en parlait à ses amies comme d’une fille « renfermée mais très intelligente ». « Mais ». Cela signifie donc qu’être renfermé est un défaut – ou bien est-ce être intelligente ? Hisako avait très vite compris qu’elle n’avait pas un comportement désirable socialement parlant. Elle s’extasiait sur la beauté des choses silencieusement. D’ailleurs, le silence faisait partie de ces choses qui l’extasiaient. Les autres enfants de son âge considéraient sans doute qu’il fallait démontrer sa joie à grands coups de « waouh », « wouah », et autres variantes du même type. Mais Hisako avait toujours été discrète, peu expressive. Ca allait mieux, depuis qu’elle avait rencontré Chitose, cette fille blonde qui maîtrisait le « waouh » avec la dextérité d’une ceinture noire. Enfin, aujourd’hui, c’était un jour particulier. Elle n’avait pas très envie d’exprimer des sentiments. Elle préférait regarder les étoiles, à la recherche d’un signe réconfortant.

Si Hisako n’est pas une professionnelle de l’expression des émotions, elle sait très bien les ressentir. La jeune violoncelliste est très sensible à l’art et à la beauté en tout genre, mais surtout à la musique et à la lecture. La Nausée peut lui donner la nausée. La neuvième symphonie de Beethoven peut la mettre dans un état de transe. Et c’est peut-être en cela qu’elle est étrange. Pas assez expressive, trop sensible. Hisako a cette tendance à réfléchir sur tout ce qui l’entoure. Quand on ne se divertit pas avec la même ferveur que les autres, l’esprit a le temps de gamberger et de développer des sens et passions inconnues au commun de ses fréquentations de 22 ans. Elle n’allait pas en salles d’arcades avec ses amis pour entendre des explosions de joie et de mécontentement, elle ne souhaitait pas aller en boîte de nuit pour sentir la sueur des autres emplir ses narines et leurs corps extravertis approcher le sien si pudique. Non, ce n’était pas ce à quoi elle aspirait.

Ce qu’elle aimait le plus au monde, c’était sans nul doute la sensation des cordes épaisses de son violoncelle sous ses doigts. La force demandée par la corde, la délicatesse exigée par l’archet et l’art de la symphonie s’échappant de l’instrument quand les deux conditions étaient remplies. Il lui avait fallu des années avant que son instrument daigne lui accorder un son scintillant, mais elle ne regrettait rien. Aujourd’hui, sa plus grande fierté était de gagner sa vie par la passion qu’elle vouait au violoncelle. Elle lui en serait éternellement reconnaissante. C’était comme s’ils avaient noué un lien aussi difficile à fonder qu’impossible à délier. Peu importe qu’elle gagne peu d’argent dans ce petit orchestre se produisant deux soirs par semaine dans une salle de théâtre des quartiers populaires. Peu importe, car elle avait atteint une félicitée qu'elle n’aurait eu l’indélicatesse d’imaginer dix ans plus tôt. Le violoncelle était un instrument plein d’orgueil qu’il était nécessaire de respecter.

Ce portrait de Hisako laisse penser à une jeune femme isolée, solitaire, toujours enfermée dans son appartement à l’odeur de moisi qu’elle ne prendrait la peine de ranger puisqu’elle y vit recluse. C’est bien loin de la réalité. Hisako a des amis, et elle aime recevoir ou sortir. Elle n’est pas la bout-en-train de la bande, ni le leader et encore moins la tsundere. Non, elle est elle-même, et cela suffit à tout le monde. Elle a une bienveillance et une sympathie envers ses amis qui en fait une personne très fidèle. Elle aime rire avec eux, apprécier les moments simples que lui offrent ses amitiés, et garder ses réflexions sur la vie pour les moments de solitude. Oui, avec le temps, elle avait réussi à faire la part des choses et à devenir plus « normale ». Elle pouvait même envisager quelques instants de folies avec sa meilleure amie. Parfois.

Une étoile brilla plus que les autres, du moins c’était ce que Hisako croyait. Mais cette illusion s’évanouit aussi vite qu’elle était venue. Avait-elle pleuré, aujourd’hui ? Elle n’en était plus très sûre. Elle avait été comme ailleurs, toute la journée. Comme si elle observait les événements de loin, hors de son corps. Une spectatrice passive de la vie de Suguha Hisako. La réalité la rattraperait comme un prédateur affamé. Et, lorsque ses griffes déchireraient sa peau tendre, elle allait devoir de défendre, se débattre, et gagner le combat. C’était plus simple de le perdre. Nettement plus simple de se laisser dévorer par les malheurs que la vie nous réserve. Mais Hisako était une jeune femme débrouillarde, avec une certaine fierté, et qui n’avait pas l’intention de se laisser happer par un gouffre de chagrin. Elle remonterait en rappel si c’était nécessaire. Oui, elle en était convaincue.

Ce n’était pas le premier malheur qu’elle vivait, quoique celui-ci fasse concurrence à tous les autres. Lorsqu’elle avait hérité de cette terrible cicatrice, elle s’en était remise. Partiellement, certes. Hisako prit une longue inspiration et redressa la tête avec courage. Elle n’avait plus huit ans. Elle en avait vingt-deux. Elle était une femme, et elle comptait bien faire honneur à l’âge adulte dans lequel elle entrait. Hors de question de se laisser abattre comme cette fois-là. Même 14 ans plus tard, elle avait toujours une peur bleue des hybrides. Elle se battait pour leur égalité vis-à-vis des humains et n’admettait en aucun cas l’idée qu’un Homme s’approprie la vie d’un autre. Elle participait aux manifestations, offrait quelques maigres dons aux associations de défense des hybrides,… Simplement, elle préférait ne pas les croiser. Elle s’arrangeait toujours pour ne pas être en contact avec eux. Et surtout, elle s’arrangeait pour que personne ne se rende compte de cette frayeur que ces êtres partiellement humains lui inspiraient.




" Mon histoire



Connaissez-vous les concepts de bébé réel et bébé idéal ? Le bébé réel, comme son nom l’indique, est celui qui est physiquement présent après un accouchement. Avec son visage, ses bras, et ses jambes, son buste et son caractère. Tout est présent et immuable. Le bébé idéal, c’est celui que les parents souhaitent que le réel devienne. Autrement dit, il s’agit d’une représentation de leurs propres aspirations, projetées sur la progéniture. Plus l’écart entre ces deux bébés est important, plus la vie s’annonce difficile pour lui. Pour Hisako, la vie n’a pas été facile.

Elle a grandi dans une famille de deux parents aimants au cœur des quartiers populaires de Kinochi. Sa mère travaillait dans une épicerie, et son père était ouvrier dans une usine de confection de carrosserie. Ils menaient une vie parfois difficile financièrement parlant. On ne peut pas dire que Hisako ait vécu dans le luxe et la richesse. Elle a grandi dans un état d’esprit de sobriété qu’elle a conservé aujourd’hui. Le couple Suguha menait une vie modeste avec leur fille unique. Toutefois, cette vie ne leur suffit pas éternellement. Ils voulaient plus, et tout particulièrement pour leur fille. Elle était intelligente et voulaient le meilleur pour elle. La meilleure école, donc les meilleures notes. Une passion qui impressionnant les autres quand on en parlait. Puis finalement, ils se laissèrent dévorer par l’avidité.

Ils réussirent à déménager dans un quartier résidentiel, à économiser pour une poignée de beaux habits, et à inscrire Hisako dans une école de bonne facture. Leur petite vie était rodée, mais ils manquaient cruellement d’argent pour subvenir aux besoins qu'elle imposait. Le paraître dévorait leurs réserves, si bien que la petite famille ne comptait plus les soirs où ils se contentèrent d’un bouillon fade en guise de repas. Tant que les apparences étaient sauves, cela n’avait pas d’importance. Leur plus grande erreur fut sans nul doute d’adopter un hybride. Signer le contrat d’adoption marqua la fin de leur petite vie idéale.

Il s’agissait d’un Tora prénommé Kei. Un jeune garçon, de quatre ans l’aîné de Hisako – à cette époque, elle avait huit ans. La petite fille était ravie : elle n’avait jamais eu de frères et sœurs et voulut faire de Kei son grand frère. La jeune fille discrète et renfermée s’était ouverte en voyant ce petit bonheur dans sa vie. Seulement, l’affection qu’elle lui portait n’était pas réciproque. Il feulait sans cesse à son égard. En réalité, il ne se laissait approcher par aucun être humain. Il les détestait, et pour cause. Hisako eut donc interdiction de s’approcher de lui si ses parents n’étaient pas autour.

Que s’était-il passé dans la tête de la petite fille, ce malheureux matin de Novembre ? Elle était seule à la maison, avec l’hybride. A cet âge, on s’imagine spécial, capable de changer le monde. Alors elle imaginait pouvoir changer Kei. Pouvoir lui faire apprécier les humains car elle, elle était gentille et bienveillante. Oui, c’était comme donner à manger à un petit chiot affamé, au fond. Alors elle vint vers lui, un petit plateau à la main sur lequel des pains aux haricots rouges encore chauds et deux tasses de thé trônaient. Elle s’assit près de lui et lui proposa de se joindre à elle pour manger quelque chose. A peine eut-elle le dos tourné qu’il se jeta sur elle, toutes griffes dehors, et lui infligea une marque indélébile. Son échec était gravé à tout jamais dans sa peau d’enfant.

Les souvenirs de cette nuit fuyaient son esprit comme l’eau d’un vase brisé. Elle ne savait plus très bien comment s’étaient arrêtées les choses. Elle se souvenait d’une douleur cuisante, et surtout d’une sensation chaude et poisseuse dans son dos. Lorsqu’elle recouvra ses esprits, elle était dans une chambre d’hôpital, dans un de ces petits lits d’enfants qui ne devraient pas exister si la vie témoignait d’une once de justice. Mais elle était là, dans ce petit lit aux petits draps, sa petite tête sur un petit oreiller. Sa petite main tenue par une grande. Grande et forte ; c’était son père. Il avait les yeux rouges. A son souvenir, c’était la première fois qu’elle le voyait pleurer.

Hisako garda une cicatrice imposante de cette attaque et fit tout son possible pour la cacher. Le pire pour elle était de se retrouver aux vestiaires avec les autres filles pour le cours de sport. Elle avait laissé pousser ses cheveux pour cela, et s’en était toujours très bien sortie ; la cicatrice appartenait au passé, et personne de sa vie présente n’avait idée de son existence. Kei avait disparu, et Hisako ne voulait pas savoir quelles mesures avaient été prises. Elle n’était pas assez forte pour cela.

Après cette épreuve, la famille Suguha changea de stratégie. Ils ne se ruinèrent plus pour le paraître, mais pour offrir à Hisako la vie qu’elle méritait et qu’ils n’avaient pas eue. Elle demanda à faire du violoncelle : cela lui fut accordé. Elle put entrer dans une bonne école et bénéficier d’une bonne éducation. Plutôt marginale, elle ne cherchait pas vraiment à s’intégrer avec les autochtones. Mais une jeune fille, Chitose, décida de l’intégrer elle-même. Ce fut le début d’une longue amitié où régnaient en maîtres amusement, incompréhension et affection. A force d’efforts, Chitose avait su devenir importante, et même indispensable pour Hisako. Elle était son exact opposé, et en s’influençant mutuellement, elles devinrent indispensables l’une pour l’autre.

Et elle le fut d’autant plus pour Hisako lorsque son père déserta la demeure familiale. Vouloir réunir vie réelle et vie idéale avait mis la famille Suguha dans une situation délicate où les dettes s’amoncelaient progressivement. Après avoir tenté, en vain, de résoudre le problème, le père de Hisako avait pris la fuite, laissant la mère et la fille dans leur malheur. La vie devint d’autant plus difficile avec un salaire en moins.

Au fil des années, Hisako et sa mère finirent par s’en sortir toutes les deux, malgré le poids du départ d’un membre de la famille. Elles se serrèrent les coudes tandis que Chitose, ayant compris la situation, aidait sa meilleure amie autant qu’elle le pouvait. C’est sans doute à cette période que Hisako comprit qu’elle pouvait effectivement compter sur quelqu’un. Car oui, Chitose était exubérante, parfois énervante, elle avait les cheveux décolorés et aimait se faire remarquer. Mais avant d’être tout cela, elle faisait montre d’une générosité débordante qui avait le don d’émouvoir Hisako.

Elle se mit à travailler à côté de l’école pour aider sa mère, qui elle-même cumulait plusieurs emplois. Leur train de vie était dur. Très dur, d’autant qu'elle s’impliquait dans des causes caritatives pour les hybrides. Elle avait surmonté l’événement en se disant que Kei avait eu des raisons d’attaquer un humain, même si elle n’était pas responsable de cela. En revanche, elle pouvait contribuer à la cause des hybrides. Les deux femmes se rassuraient, au cœur de cette vie épuisante, en se disant qu’elles en arriveraient à bout.

Néanmoins, la fin fut très différente de ce qu’elles avaient espéré. L’espoir, quel concept cruel. Car la mère de Suguha ne connut jamais « l’après ». Elle ne connut pas la vie insouciante dont elle parlait si souvent avec sa fille. Elle s’était épuisée. Détruite. Anéantie au travail sans en parler autour d’elle, dans tout l’orgueil caractéristique des Japonais. A tel point que sa santé en péril s’effondra, en même temps que son dernier souffle de vie.

Hisako Suguha avait 22 ans, et elle venait d’enterrer sa mère. Ses yeux cherchaient une étoile plus brillante que les autres dans le ciel nocturne, parce qu’elle avait besoin de voir sa mère dans un lieu plus paisible.




" Et vous ?;



Dans la vraie vie, mon ptit nom c'est Pewi, et j'ai 23. J'ai connu le forum grâce à quelqu'un !
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Léo
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♦ Humeur : Chat-rmeuse ma belle ~
Mar 26 Juil - 19:06
Léo
Oh toi Princesse je t'aime déjà :D *sbaf*
Ton histoire est génialissime ma belle !
J'ai hâte de rp avec ma futur maitresse ~ :^_^:
Ton chat va t'en faire voir de toutes les couleurs mouahahah

A part ça, bienvenue et tout le tralala xP
Je te valide ma jolie Hisako *appose sa patte de chat pour sa première validation en temps que Léo*
Va rp et que chat saute ! *meurt*
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